Oui, tout le monde était fin prêt au Cabaret Sauvage pour ce dimanche consacré à l’Afrique du Sud !
... retrouvez ci-dessous les avis des 10 adhérents à la Une qui ont participé à la première "Scènes d’hiver" de la saison 2007…
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Il est rare d’avoir la chance de se frotter à la culture sud-africaine à Paris.
Hier soir, la générosité et la joie de vivre de cette culture ont littéralement habité le chapiteau par la grâce de l’ensemble Ibuyambo de Dizu Plaatjies. Enfants comme adultes, nous étions bouches bées devant les costumes évolutifs des danseurs, leurs maquillages tribaux, la diversité des instruments à l’aspect et aux sons surprenants, et les danses traditionnelles magiques de richesse humaine et de puissance physique. Les voix magnifiques servaient des chants terriens qui inspiraient la paix et la sérénité, élevaient les cœurs et les esprits. Les adultes aussi fascinés que les petits les ont bientôt rejoints au centre du chapiteau pour mieux apprécier les danses et y prendre part. A la fin du concert, c’est tout le public qui dansait à l’africaine, transporté par cette musique vers les cieux de Bonne-Espérance. Dizu Plaatjies s’est dit honoré de représenter son fabuleux pays à Paris. Hier, nous savions notre chance d’avoir reçu en partage cette soirée qui nous a ravi toute notion de temps et d’espace. Avec nos voisins de siège, nous avons pris rendez-vous dans l’euphorie pour nous retrouver la prochaine fois en Italie, voire à Trinidad…
Rédigé par : Catherine & Tita | 15 janvier 2007 à 13:51
concert percutant, entrainant et trés vivant..la journée fût également trés riche , dommage que nous n'ayons pas eu plus d'explication sur les maquillages, la place de la danse et la musique dans la culture sud africaine comme celle que nous avons eu , trés enrichissante sur les instruments...à renouveler c'était trés dépaysant
Rédigé par : ingrid | 15 janvier 2007 à 16:15
Ce fut un superbe après midi emportés dans dans un autre univers, celui des chants, des danses de l'Afrique sans oublier la pétulente Naomi Canard et ses contes africains. 6 heures de bonheur où on en redemande. Cependant beaucoup de questions restent encore sans réponse concernant le maquillage, la danse et leur place dans les traditions et la religion... Pour les instruments de musique c'était le top.
A bientôt pour un autre rendez-vous aussi magique que celui auquel nous avons eu l'honneur de participer hier.
Rédigé par : Eliane | 15 janvier 2007 à 18:12
Un après-midi en crescendo, bien vivant, gai et tout couleur ! Que vive les Cabarets Sauvages tout autour de la Planête, le Spectacle Vivant et la Planête elle-même... Tout un programme et on vote tous pour La Villette et ses fabuleuses compagnies !
Rédigé par : Cécilia | 15 janvier 2007 à 23:08
Un après-midi et une soirée enchanteresse, pleine de couleur et de bonne humeur. Le soir, j’avais vraiment l’impression d’être en Afrique du Sud ! Ce qui est génial également, c’est que les enfants ont leur place aux cotés des adultes. Nous pouvons tous ensembles voyager et nous initier à une culture. Alors attention, prochain départ : l’Italie !
Rédigé par : Cécile | 16 janvier 2007 à 10:15
Un beau voyage riche en découvertes dans l'univers sud-africain de Dizy Plaatjies !
Après une présentation très intéressante des instruments et rythmes traditionnels nous aurions beaucoup aimé en connaîre davantage sur le langage des costumes, maquillages et danses ancestrales (guerrières, religieuses ?)...
Merci encore pour ces Scènes d'Hiver magiques et chaleureuses !
Catherine & Ulrich
Rédigé par : Catherine et Ulrich FOUQUET-OTTEVAERE | 16 janvier 2007 à 15:13
Recette pour découvrir une culture, de façon ludique et conviviale, aujourd’hui l’Afrique du Sud.
Prenez un endroit magique (le Cabaret Sauvage), réservez un après-midi, invitez toute la famille (petits et grands profiteront d’animations spécifiques), enchaînez danses, chants, contes, musique, entrecoupez d’ateliers de création (découverte d’instruments de musique, maquillage ethnique, percussions et chants zoulous), vous obtenez « Scènes d’hiver ».
Ne pas oublier d’assister au concert de clôture pour revivre, en accéléré, chacun des moments passés.
Rédigé par : Lucille et son Tonton | 17 janvier 2007 à 23:43